Ce travail porte sur la présentation et l’expérimentation de l’applicabilité d’une forme de partenariat introduit en Italie, la « Société de Transformation Urbaine », dans une étude de cas portant sur une zone côtière au sud des Pouilles, à utiliser en tant qu’outil opérationnel pour faire face au problème de l’habitat illégal le long des zones littorales. L’on propose une régénération complète de l’environnement et du paysage originel suivant une procédure basée sur l’évaluation de la faisabilité du projet, visant à transférer ailleurs les volumétries bâties le long de la côte. En particulier, on examine la faisabilité financière et administrative, ainsi que les conflits sociaux qui sont inévitablement associés à ce type de processus. La proposition considère deux catégories de projets qui contribuent à définir l'intervention dans une forme unitaire, mais qui ont un poids financier très différent: la première catégorie concerne le « projet objectif», c’est à dire l'action finalisée à améliorer l'environnement et qui est le résultat du transfert des volumes bâtis. La seconde catégorie est constitué par un ensemble de «projets de soutien » capables d'assurer la rentabilité globale de l'opération. Dans l'exemple proposé, le projet du parking fournit des résultats très significatifs en termes de rentabilité, avec un VAN supérieur à 9,5 millions de euro et un taux de rendement interne supérieur au 27%.
Faisabilité financière et société mixte dans un projet de réhabilitation environmentale
CARBONARA, Sebastiano
2004-01-01
Abstract
Ce travail porte sur la présentation et l’expérimentation de l’applicabilité d’une forme de partenariat introduit en Italie, la « Société de Transformation Urbaine », dans une étude de cas portant sur une zone côtière au sud des Pouilles, à utiliser en tant qu’outil opérationnel pour faire face au problème de l’habitat illégal le long des zones littorales. L’on propose une régénération complète de l’environnement et du paysage originel suivant une procédure basée sur l’évaluation de la faisabilité du projet, visant à transférer ailleurs les volumétries bâties le long de la côte. En particulier, on examine la faisabilité financière et administrative, ainsi que les conflits sociaux qui sont inévitablement associés à ce type de processus. La proposition considère deux catégories de projets qui contribuent à définir l'intervention dans une forme unitaire, mais qui ont un poids financier très différent: la première catégorie concerne le « projet objectif», c’est à dire l'action finalisée à améliorer l'environnement et qui est le résultat du transfert des volumes bâtis. La seconde catégorie est constitué par un ensemble de «projets de soutien » capables d'assurer la rentabilité globale de l'opération. Dans l'exemple proposé, le projet du parking fournit des résultats très significatifs en termes de rentabilité, avec un VAN supérieur à 9,5 millions de euro et un taux de rendement interne supérieur au 27%.I documenti in IRIS sono protetti da copyright e tutti i diritti sono riservati, salvo diversa indicazione.